Il est nécessaire de distinguer entre les signaux des stands et les signaux des directeurs de course et des commissaires. Ces derniers sont envoyés au moyen de drapeaux, dont l’usage est réglé par le Code sportif international.
Les drapeaux à utiliser sont:

le drapeau national : doit être utilisé par le directeur de course pour donner le départ ; dans un pays où cet usage n’existerait pas, le départ peut être donné au moyen de n’importe quel drapeau, pour autant que la direction de la course se soit bien assurée que ce drapeau est connu de tous les conducteurs

le drapeau bleu : immobile : un concurrent vous suit de très près ; agité : un concurrent
essaie de vous dépasser ;

le drapeau blanc : une voiture de service, une ambulance ou un véhicule de pompiers est sur la piste

le drapeau jaune : danger, défense de dépasser, il est agité par le poste de surveillance dans le secteur duquel est survenu un accident ; il est présenté immobile dans les postes qui précédent

le drapeau jaune à rayures rouges verticales : : huile répandue sur la piste

le drapeau vert : fin d’un danger précédemment signalé

le drapeau rouge: signal d’arrêt immédiat et absolu de toutes les voitures. Ce drapeau
est à la disposition exclusive du directeur de course ;

le drapeau noir avec un numéro blanc : la voiture portant le numéro indiqué doit s’arrêter à son stand de ravitaillement

le drapeau à damier noir et blanc : signal d’arrêt à la fin de la course.

Les signaux des stands servent, eux, à communiquer au pilote, ils sont donnés sur la base d’accords pris avant la course.
Un chronométreur, habituellement le directeur sportif, prend les temps et les communique au préposé à la signalisation, qui reporte les temps et les positions sur des panneaux.

Sur l’aquarelle, au stand Ferrari, on signale à Surtees qu’il est encore en deuxième
position, avec quarante-cinq secondes d’écart, et que le classement partiel de l’épreuve est premier : Clark, deuxième: Surtees, troisième : Arundell.